La grande majorité des investisseurs ambitieux s’attarderont généralement prioritairement à la dimension financière, puisque c’est l’un des facteurs des plus déterminants dans l’ampleur de la croissance que peut avoir un parc.

Bien que j’habite personnellement à Montréal, j’ai pourtant décidé de choisir mon secteur d’investissement sur la base d’autres critères...

Pour bien comprendre les marchés primaires, il faut penser les immeubles à travers le temps, en prenant en compte la plus-value naturelle, la plus-value forcée et le risque.

Si l’apprentissage est possible sans avoir à commettre de graves erreurs, pourquoi vouloir à tout prix se casser la gueule?

Lorsqu’on commence à se sophistiquer en investissement immobilier, on découvre plusieurs ratios essentiels à l’analyse d’immeubles : le MRB, le MRN, le TGA, etc.. Bien que ces indicateurs parlent d’une dimension de l’immeuble, il faut être prudent lorsqu’on les utilise.

Ce qui distingue l’investisseur du simple consommateur, c’est que l’investisseur a une vision de ses projets qui tient compte du temps, de ses compétences et du risque.

On sous-estime souvent à quel point nous sommes responsables et créateurs de ce que l’on trouve dans le monde. Il faut cesser d’attendre que les opportunités apparaissent.