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Les Canadiens accros à l’immobilier ne sont pas effrayés par la menace de taux d’intérêt plus élevés, selon plusieurs sondages.

« Plus loin, nous nous attendons à ce que l’inflation revienne progressivement près de la cible de 2% en 2023 et 2024 », a déclaré Macklem.

Corrigés de l’inflation, les taux réels hypothécaires des assurés et des non assurés sont à -3,3 %, ceux-ci sont absurdement bas.

L’inflation pourrait être un facteur important dans les intentions futures de construction, mais pas le seul moteur.

David Rosenberg n’est pas le seul à penser que les banques centrales commettraient une erreur si elles réagissent de manière excessive avec les taux d’intérêt en mars.

L’économie canadienne a stagné en décembre alors que le pays était frappé par de nouveaux confinements, pourtant, le ralentissement n’a pas été suffisamment important pour empêcher une fin de saison solide en 2021.

En 2022, les plus grandes unités multirésidentielles seront celles qui attireront le plus de capitaux.

Selon Clark Ziegler du Massachusetts Housing Partnership, la législation doit tenir bon même si certaines villes « doivent aller donner des coups de pied et crier ».

Alors que les maisons individuelles deviennent de plus en plus inaccessibles au Canada en raison de la hausse spectaculaire des prix, les acheteurs se tournent vers une autre option : les maisons en rangée.

L’industrie multirésidentielle s’est réunie à Orlando la semaine dernière avec l’espoir que sa solide performance fondamentale se poursuivra, mais le marché se prépare néanmoins à des défis tels que la hausse des taux d’intérêt, une pénurie nationale de main-d’œuvre, l’évolution des modèles de migration et des changements dans les préférences des locataires.